jeudi 13 septembre 2012

Pour le ROI d'un réseau social d'entreprise, il faut descendre au niveau applicatif

 Réseaux sociaux internes : les entreprises françaises accusent un retard certain 
Le Cercle Les Echos, Virginie Boillet, 11 septembre 2012


Commentaire
Bonjour,
merci pour ces statistiques.
"Les entreprises françaises accusent un retard certain"...Sans doute au regard des chiffres que vous citez.

Après le constat, il s'agit de faire un bon diagnostic.

Par exemple en s'interrogeant sur les besoins, ce que vous faites d'ailleurs :
"partage de bonnes pratiques",
"innovations",
"création collaborative",
"identification d’experts".

Néanmoins, les "managers comme les salariés peinent à saisir les bénéfices que l’usage des RSE pourrait leur apporter dans le cadre de leur activité".

Ou faudrait-il lire "les managers peinent à déterminer un retour sur investissement (ROI)".
Pour déterminer un ROI, il faut aller au-delà des besoins génériques tels que meilleure "collaboration", meilleure "communication" et descendre au niveau du projet.

Un exemple ?

Une formation en "blended learning" associant une intervention présentielle et l'exploitation d'une partition dédiée d'un RSE et animée par un coach formateur.

Une illustration à l'adresse http://open-rse10.governance-level-agreement.com où l'on donne une "empreinte aménagée" d'une production d'un tel coaching (formation sur les régimes d'affaires numériques)