jeudi 17 décembre 2015

Star Wars : une leçon pour le digital learning

4 mythes en matière de Digital Learning,  Patrick Gadat, LinkedIn, 16 décembre 2015


Commentaires
Bonjour,

effectivement, la technologie a bien évolué et permet
"d’intégrer en un temps record :
• l’argumentaire de votre offre
• vos meilleures pratiques
• vos situations de tous les jours" (cf. mythe N°4)

ce qui accroît la valeur du "contenu" : tout le monde peut écrire une histoire d'un chevalier qui parcourt l'univers sur son vaisseau spatial, mais un seul a écrit Star Wars.

mercredi 16 décembre 2015

Traçabilité et transparence des sources

Une réforme européenne du copyright au pas-à-pas 
Charles Cuvelliez / Chargé d'Enseignement à l'Université libre de Bruxelles (Belgique) | Le 16/12 à 09:56


Commentaire
Bonjour,
merci pour cet article qui résume quelques enjeux.

Un autre enjeu est la fiabilité de la chaîne informative par une citation systématique des sources dès lors que celles-ci ne souhaitent pas rester confidentielles.
A l'instar des articles académiques, l'article qui cite ses sources gagne en vigueur.
En outre, l'article évite l'écueil d'être taxé par des lecteurs avertis comme porte-parole masqué des sources.

Que diriez-vous d'une autorégulation avec un tag autodéclaratif annonçant le meilleur effort pour rechercher les sources antérieures et les rendre transparentes vis-à-vis du lecteur ?

mardi 8 décembre 2015

Question sur le blog de Julia Reda

Un lobby était-il dans l’ombre pour attaquer la liberté de panorama ? La vérité est plus inquiétante.


Commentaire
Bonjour,

je me souviens avoir signé la pétition et été ravi de voir la "liberté de panorama" s'inscrire dans la version 1 du projet de loi pour la République numérique.


Permettez-moi de profiter de votre invitation à commenter de poser cette question :
Quelle est votre position sur "l'opportunité d’instaurer une obligation de dépôt pour acquérir les droits d’auteur" [1]



[1]  page 313, "La propriété intellectuelle et la transformation numérique de l’économie"  publiée par l'INPI , octobre 2015
Les propositions d’évolution du droit qui sont présentées dans cet ouvrage proviennent des experts qui ont participé à cette réflexion, elles n’engagent ni l’INPI ni le gouvernement et sont destinées à alimenter le débat public dans une volonté de trouver des mesures permettant d’améliorer la compétitivité des entreprises françaises.



Wikipedia :  Julia Reda est chargée par le Parlement européen de préparer un rapport sur la mise en œuvre de la directive 2001/29/CE, concernant l'harmonisation du droit d'auteur en Europe

Numérique et droit d'auteur : les lobbys à la manoeuvre

Comment réconcilier numérique et propriété intellectuelle; Aurélie Barbaux, 16 octobre 2015, L'usine digitale



Commentaires (en cours de modération)

"L’œuvre logicielle (...) ne trouve pas de traduction monétaire dans le bilan de l’entreprise"

Une proposition pour le moins étonnante : et comment font les éditeurs de logiciels pour valoriser leurs productions ?


Commentaires
"L'imbrication complexe de plusieurs contributions concourt bien souvent à la création d’une œuvre numérique (...). La création d’une œuvre numérique induit par conséquent la nécessité de maîtriser le cycle juridique de son développement.

"Par conséquent" : pourquoi par conséquent ?
Pour une oeuvre qui n'est pas complexe (par exemple peut être un article de presse), il n'y aurait pas nécessité de maîtrise son cycle juridique de développement ?

lundi 7 décembre 2015

Reforme du droit d'auteur : les acteurs se positionnent

Comment réconcilier numérique et propriété intellectuelle; Aurélie Barbaux, 16 octobre 2015, L'usine digitale



Commentaires (acceptés par la modération de média)
Dans le paragraphe sur le droit d'auteur, on peut lire :
" (1) La création d’une œuvre numérique induit par conséquent la nécessité de maîtriser le cycle juridique de son développement,

(2) en retenant qu’à l’ère du numérique la question de la liberté d’exploitation des droits est plus importante que celle de la titularité !"

Deux commentaires :

(1) Faut-il comprendre que pour exploiter une œuvre de l'esprit, ce rapport préconise un dépôt préalable à l'INPI, comme il faut le faire en France pour les marques (ce qui en passant n'est pas nécessaire aux Etats Unis, l'exploitation effective "TM, TradeMark" étant suffisante)

(2) Si la titularité est "moins importante" que l'exploitabilité, on se demande s'il était bien nécessaire de signer cet article (ce qui en passant, est une pratique d' un certain hebdomadaire anglosaxon  d'économie)