lundi 25 mars 2013

Cloud computing : données à caractère personnel et copyright


Cloud computing et protection des données 
Un guide pratique sur le Cloud computing pour les dirigeants d’entreprises
25 mars 2013 Entreprises : stratégies et cultures numériques, CIGREF

Commentaire en cours de modération.

Bonjour,

merci de donner l'accès à ces travaux qui donnent quelques pistes pour  "déterminer le niveau de protection nécessaire aux données hébergées, quelle que soit leur localisation et de choisir l’offre la plus adaptée à l’usage souhaité ».
Les questions sont donc posées :

  • quelles données ? 
  • quel hébergeur (interne ou externe) ? 
  • quelle localisation ? 
  • quelle offre ? 
  • quel usage ?

Pour la première question, on pense immédiatement aux données à caractère personnel. Mais si l'on pense au droit d'auteur, qui est source des modèles économiques des référentiels de gestion de système d'information sous copyright, on pourrait ajouter : quel propriétaire ?

mercredi 20 mars 2013

Gouvernance de l'information : citer les sources


"Gartner recense les enjeux du traitement de l'information en 2013" 
11/03/2013, Didier Barathon, Le Monde Informatique


Commentaires

Jean-Pascal,
l'article, qui n'est pas signé par un consultant représentant la cabinet Gartner, parle de Chief Data Officer.
Je crois me souvenir que le cabinet conviendrait plutôt sur Chief Digital Officer. Il faudrait donc retourner à la source précise. C'est dommage que celle-ci ne soit pas directement et immédiatement mentionnée ("un rapport").

Une faille de gouvernance ?

mardi 19 mars 2013

"Protection des données de l'entreprise" ou "Protection des données deS entrepriseS".

Protection des données de l’entreprise : quand votre meilleur ennemi peut être l’interne
13/03/2013 | Eric Soares / Le Cercle Les Echos



Bonjour,
merci pour cet article qui rappelle qu'au delà de la technologie, il y a le juridique (ou plus précisément en entreprise, la gouvernance d'entreprise) et l'humain (les employés de l'entreprise).

Lorsqu'un salarié utilise de façon indue dans le cadre de son travail des "données" d'entreprises tierces telles des droits d'auteur, outre qu'il peut être lui-même exposé à une faute grave et sérieuse, il met en risque de contrefaçon, parasitisme et concurrence déloyale son employeur.

Ainsi, vous avez raison de souligner que lors de la formation des employés,  les entreprises doivent "sensibiliser leurs employés [aux risques de] l’utilisation non autorisée d'informations confidentielles mais également de propriétés intellectuelles de l'entreprise et de celles de tiers et leur expliquer que celle-ci est un délit.

mardi 5 mars 2013

Redécouvrir les fondements de la loi


Enjeux éthiques, identification et gouvernance
Le 4 mars 2013 par Fondation CIGREF

Commentaires (au 9 mars 2013, en cours de modération)
Si l’on considère le droit d’auteur, on peut se demander s’il s’agit d’une exigence éthique, d’un simple respect de la loi ou une mesure judicieuse d’efficacité économique.

Citer un auteur et l’œuvre, surtout quand il est externe à l’entreprise, est non seulement respecter le droit moral, éviter de mettre l’entreprise en risque de contrefaçon, parasitisme et concurrence déloyale, mais également faire preuve de rigueur et d’honnêteté intellectuelle source de confiance.